Queue d'aronde

La lune ronde qui descend entre les deux collines blondes,
Et mon sang pour ton île est heureux de faire sans,
Toutes les piles de mémoire en faces blanches et fragiles,
Des histoires qui toujours meurent aux queues d'astres noirs.

À rebours.

En oblongue et passant comme nos vœux qui fécondent,
Le versant de tes cils longs baveux et dansants,
Afin qu'ils cessent de croire courageuses ou futiles,
Ces histoires qui toujours naissent aux creux d'au revoir.

Mon amour.